Oui, quand ? Sous quelle bannière ? Aujourd’hui, c’est devenu d’une urgence absolue.

On entend ici et là, sans les journaux, les réseaux sociaux ce slogan sorte de vœu pieux auquel personne ne croit, tout en l’espérant.

C’est notre seule bouée de sauvetage qui est à notre disposition, cette formule est valable pour l’Arménie comme pour la diaspora. On ne demande pas de renoncer  aux sensibilités de chacun, mais devant la gravité de la situation, additionner les forces au lieu de les diviser.

Dire que les arméniens sont divisés est un euphémisme. L’animation stérile et nébuleuse de ses institutions en place les a affaiblies  et fragilisées, ce qui a pour effet d’éloigner bon nombre d’arméniens de la communauté arménienne et de sa vie sociale, cela depuis longtemps. On voit l’éclosion  d’organisations nouvelles  conscientes du problème qui tentent d’apporter des solutions, il y a quelques initiatives personnelles mais qui manque d’efficacité tant les besoins sont criants et les solutions apportés nettement insuffisantes.

L’histoire semble se répéter, de bégayer, elle a montré si besoin est, que personne n’a tirer de leçons du passé. Les arméniens sont en danger en Arménie Artsakh, Djavakhk (dont personne ne parle), voir en Turquie, Liban , Syrie, en Occident où les arméniens ont trouvé refuge et se sont installé, ils sont sous la menace d’un génocide blanc, beaucoup on confondu intégration et assimilation. Nos institutions on choisi un petit chez soi plutôt qu’un grand chez les autres.

Nous devons changer de logiciel, utiliser plus souvent notre langue et notre alphabet.

Միացէք Հայեր, Հայեր միացէք


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